Page:Buies - Le Saguenay et le bassin du Lac St-Jean, 1896.djvu/232

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attendri, et mes impulsions généreuses étaient paralysées. Je repris ma route, rempli de pensées philosophiques et songeant au peu qu’il fallait à l’homme pour vivre content. Hélas ! c’est nous, les pauvres, les misérables, pensai-je… ; mais combien il faudrait être convaincu de cette idée pour se résoudre à vivre comme le font les colons de Saint-Cyriac, même avec des patates, un four, une vache et des cochons !…