Page:Bulletin-Rubens - Annales de la Commission officielle instituée par le Conseil communal de la ville d'Anvers, Tome 1, 1882.djvu/107

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

— 94 — aultres de sa profession. Mais il ne faut pas qu’il soit de son pouvoir de s’en [défendre], soubz prétexte de modestie. En un besoing, il faudra voir le P. Séguiran, jésuite, à qui je vous feray tenir lettres de recommandation pour vous ayder à obtenir la faveur que je désire ; même au préalable, il faut avoir desrobé le premier traict de ce portraict, de sorte qu’on ne vous en puisse plus desgarnir, de peur qu’il ne se cachast, après, devant vous. Vous m’excuserez de ceste peine et j’espère - de vous servir utilité en’ revanche. » Monsieur, vostre, etc. « de Peiresc. » A Aix, en haste, le 29 octobre 1628. 7me Lettre. - Monsieur, » Depuis celle que je vous escripvis, il y a deux ou trois jours, j’ay appresté les lettres de recommandation que je vous promettois, en attendant le retour de la cour, auquel temps nous escriprons à d’aultres et mesme au frère de Mgr le Cal de Richelieu, pour tascher de vous faire employer à le pourtraire et à vous faire cognoistre de luy et puis du Roy par son moyen. Cependant, j’espère que la faveur de M. de Loménie et de M. de la Ville aux Clercs, ensemble de M. l’abbé de