1o Le Grand-Pressigny, à la présentation de l’archevêque ;
2o St-Martin d’Etableau, — de l’abbé de Pontlevoy ;
3o Guerche, — de l’abbé de Preuilly ;
4o Barrou, — id id
5o Chambon, — de l’archevêque ;
6o Chaumussay, — de l’abbé de Fongombault ;
7o La Celle-Draon — du seigneur de la Celle-Guenand ;
8o Le Petit-Pressigny — de l’abbé de Pontlevoy ;
9o Retz, — de l’archevêque ;
10o Ferrière-Larcon, — id
11o Paulmy, — du seigneur de Paulmy.
Ce doyenné, lors de la division qui eut lieu, vers 1673, du diocèse en trois archidiaconnés, cinq archiprêtés et vingt-trois doyennés, fut compris dans l’archidiaconné d’Outre-Vienne et dans l’archiprêtré de sainte-Maure.
Depuis le décret de l’assemblée constituante du 26 février 1790, le Grand-Pressigny est chef-lieu de canton et en même temps siège d’une justice de paix.
La composition du canton du Grand-Pressigny, telle qu’elle avait été primitivement organisée par le décret de 1790 a été modifiée par un autre décret en date du 5 vendémiaire an X. La commune de St-Flovier qui, dans le principe, avait été constituée chef-lieu de canton et de justice de paix a été réunie à partir de cette dernière époque, au canton du Grand-Pressigny, qui, depuis lors, est demeuré formé des communes :
1o du Grand-Pressigny, à laquelle a été réunie, depuis, celle de St-Martin-d’Etableau ; 2o de Barrou ; 3o Retz ; 4o La Celle-Guenand ; 5o Ferrière-Larçon ; 6o la Guerche ; 7o Paulmy ; 8o Le Petit-Pressigny et 9o St-Flovier.
Château du Grand-Pressigny.
L’antique château féodal du Grand-Pressigny a subi le sort commun aux monuments de ce genre. Les spéculateurs et les démolisseurs l’ont réduit en presque totalité à l’état de