Page:Bulletin de la société des historiens du théâtre, année 2, n°1-2.djvu/21

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19- X Par le moyen du satanique ebrieu Qu’on a bruslé a bon droict puis n’a guere, je renié cresme, baptesme et Dieu Et sa saincte pure immaculée Mère, 76 Et fus contraint, ains que partir du lieu, Les piez baiser au dyable, ort adversaire, Dont me couvient, pour parfaire le jeu, De mon propre sang lettre luy en faire. 80 XI Le lendemain me feistes appeller, Mais qui vous meut a ce, je ne sais pas, Combien que croy, ja ne le veulx sceller, Que le deable besongna sur ce pas 84 Et fus remis pour signer et sceller En l’office par cauteleux pourchas. Vous scauroit on au monde reveler Plus horrible ne detestable cas ? 88 XII Bientot après que eux tei vice commis, Et restabli fus en mon vicariat, Dieu qui.


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Et ledit temps e[t] lapsë audit estre v" Me reporta mon damnable instrument Qu’elle m’a mis sur mon cueur, de sa dextre, En memore de mon raquittement. 104 XtV Si vous supplie, mon pasteur ordm[aire], Qui huy m’aves ouy de confession, Que me donnes soubz le Dieu debonnaire De mon peché plaine remission 108 82. Impr. je n’estoyes pas. 90-100. Le bas des feuillets 2 et 3 manque.