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Iconographie
L’ouvrage de M. Prunières contient 16 planches extraites )° Du Ballet de la Délivrance de Renaud ° Du Ballet comique de la Reine
~’ Des Fées des forêts de Saint-Germain (2) ° Du Château de Bicestre (2)
° De la Douairière de Billebahaut (2)
° Du Discours au ~ra!/ (2).
Outre l’album de dessins de la collection James de Rotschild, mentionné par M. Prunières, l’iconographie du ballet pourrait se compléter par huit autres planches du Discours au urat/ (Paris, Pierre Ballard, 1617, Bibi. Nat.), 27 estampes du ballet des Fées des forêts de SaintGermain (Cab. des Estampes de la Bibt. Nat., Qb 32, 1629, Histoire de France), 32 estampes de la Douairière de Billebahaut ~<&t’J. 20 estampes du Ballet du Château de Bicestre (Est., Qb 33, 1630). S. Wilma HOLSBOER.
LA CRITIQUE DRAMATIQUE
EN PROVINCE
Mlle H. Honorat, étudiante à la Faculté des Lettres de Toulouse, nous communique le curieux « feuilleton » suivant, qu’elle a trouvé dans les Affiches et Annonces ~e Toulouse (n° 5, 18 janvier 1775). Nous connaissons fort mal, en général, ces réactions des publics provinciaux d’autrefois aussi souhaiterions-nous qu’on nous signalât le plus grand nombre possible de documents analogues à celui-ci. SPECTACLES. Lorsque le Vindicatif parut pour la première fois à Paris, le public fut révolté de l’hypocrisie de Saint-Alban, de sa haine déterminée à tromper son frère, sa sœur et son ami, et à les attirer dans les pièges affreux qu’il préparait à leur confiance et à leur amitié. L’auteur fut obligé d’adoucir le caractère du Vindicatif, de le montrer moins aux yeux du spectateur et de le faire agir plus souvent derrière la scène c’est d’après ces changements qu’on l’a déjà donné trois fois à Toulouse. Sans vouloir nous ériger en critiques, nous pouvons dire,
