diquait ce millésime, gravé sur une pierre, uu-rlesstls d’un ’
écusson placé dans la partie supérieure du pignon. Cet écusson atiait été entièrement effacé pendant la Révolution ; on avait seulement respecté le nom (le Jehem Cabnies, qu’ou
lisait au-dessous : sans doute celui du recteur qui avait préu
sidé æla construction.
Les murs de Pabside sont bâtis en pierres de moyen appareil et soutenus par des eoutreJoi-ts romans. Elle date de. 1642, comme nous Yapprend un acte conservé aux eerehires’ départementales.
Le pävrfiïde l’églisè est en grande partie formé «d’anciennes pierres tombales. l ljune «Telles, placéed-ans lai nef latérale, porte le nom de Chaudebœuf, avec le millésime de MCCC. Le reste de lïuseription est entièrement effacé. I
Une autre porte l’inscription suivante : Cy gist le corps de Franeois Pinel, chevalier de Perdre du roi, seigneur de Chaudebœuf, fondateur de cette paroisse‘, décédé le décembre 1574.
Sur deux autres, j’ai relevé les fragments suivants : Le corps de Jean Pinel, décédé en août 1589. — Corps deunoble dame Jacqueline du Para-dame de Chaudebœuf, décédée le 18 juillet 16…,
Chapelles. "e- Ou comptait en 1680, sur le territoire de cette paroisse, six chapelles, dont celle de Chaudebœuf seule est aujourtVhui rendue au culte., *
Elles étaient aux lieux suivants : l” à Chaudehéul’ ; 2o au Boisnoua-ult, sous Piuvocation de saint Gilles ; 3o au Tertre, fondée. en 1617 par Jean de Fleurville et Perrine Le Douillet, son épouse ; 4o ä Tauut ; 5o à Trouçay ; 6o aux Voiries.
rVoies romaines. — ljacte de le donation du Champ-Rain-
. froieu prieuré de Saint-Souvent‘, vers le milieu duäu ? siècle,
nous apprend que cette terre était située entre deux voies publiques, iuterdzzas’oias ymblicas, ce qui doit s’entendre, VIII A 26