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Les loups en tirent (le bon cœur, S’en allant, libres, par la plaine. j Puis le loup dit’au louveteau : 4 à Plus de craintes, mon fils, tout beau !

Arrêtons-nous. pour’prendre haleine.

Je me sens une faim de loup. "Les llêrrttlnes Ifoilt pas degofu,

J’esti.mc..aiçssi peu le fromage,

Que je meure, si je nÿengegc A pratiquer jusques au bout , Cette abstinence, dontÿenrage ! ’ n. Rien n’est véritablement bon, Enfant, que In chair de 11191112011. i» 11 dit, » et d’un seul bonçl sïlailce Sur le bercail épouvante, Q Et de plus belle il rccommeilcc Son brigandage (ÏÔÜOÏIÈÔ. Deux joins après qu’il eut fait grâce, Le berger crédule et bonnaéseljrouve son pénitent nouveæiu —Qui déjeunait (Yen tendre agneau. I Le brave homme se sczmdelise : — u Mon frère, Illelle gourmandise !

Sed quoniam læsit, postule, de veniam.

lnterimens’monachiùn, fierem Onplex homicide,

Obses erit liber, toque domum rennea. lfunc rclncant hilares, tùtique morontilr in aigre, Cnm lupus esuriens rctulit l-nec lupulo : ’

Crcde mihi, fili, nimis est caro dulcis ovine, Et cibus asper crit cziscus et que loba. ’l

Non onus assumam quod noirpossim tolerare Dixit, et ut dudmn eœpit oves rapere.

Sed breve poste tfilnplïls duni raptoi vescitnr agno, Aspicit hune, et sic argnit opilie :

Sonos cs et nmnaclnis, non tlebes carne cibari ;

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