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Page:Bulwer-Lytton - La Race future, 1888.djvu/170

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XVII.


Les Vril-ya, privés de la vue des corps célestes et ne connaissant d’autre différence entre la nuit et le jour que celle qu’ils jugent à propos d’établir eux-mêmes, ne divisent naturellement pas le temps comme nous ; mais je trouvai facile à l’aide de ma montre, que j’avais heureusement conservée, d’arriver à calculer les heures avec une grande exactitude. Je réserve pour un ouvrage futur sur les sciences et la littérature des Vril-ya, si le ciel me prête vie, tous les détails sur la façon dont ils arrivent à diviser le temps. Je me contenterai de dire ici que leur année diffère peu de la nôtre pour la durée, mais leurs divisions ne sont pas du tout les mêmes. Leur jour, en y comprenant ce que nous appelons la