Page:Bulwer-Lytton - La Race future, 1888.djvu/228

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j’obéissais à l’instinct ordinaire des hommes honnêtes et civilisés, qui, tout capables d’erreur qu’ils soient, préfèrent le droit chemin toutes les fois qu’il est évidemment contre leur goût, leur intérêt et leur sécurité de prendre le mauvais.