Page:Burnett - Le Petit Lord.djvu/114

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Le comte laissa échapper un sourire amer :

« Vous seriez, vous seriez… » dit-il.

Il haïssait l’Amérique, mais il lui était agréable de voir quel bon petit patriote était son petit-fils. Il pensait qu’un si excellent petit Américain ferait sûrement un bon Anglais plus tard.

Du reste, ils n’eurent pas le loisir de pousser plus avant sur le sujet de la Révolution, — et en vérité lord Fautleroy n’y tenait pas beaucoup, — car le dîner fut annoncé.