il n’est pas possible qu’elle s’en tienne offensée.
Madame Mirvan vous assure que si vous déférez à sa demande, ses deux enfans partageront également son temps et ses attentions. Elle a donné commission à un ami d’arrêter une maison pour elle ; la réponse ne tardera à venir, et j’attendrai dans cet intervalle votre décision. Votre fille vous écrit elle-même ; sa lettre fera plus que toutes nos sollicitations.
Madame Mirvan vous fait ses complimens, dans le cas seulement, à ce qu’elle dit, où vous accorderez votre consentement ; pas autrement.
Adieu, mon cher monsieur, nous espérons tout de votre bonté.
LETTRE VIII.
- Évelina à M. Villars.
Cette maison est le séjour de la joie ; chaque physionomie annonce la gaîté, tout le monde vous aborde avec un souris sur les lèvres. Je ne fais que roder pour