Cette page a été validée par deux contributeurs.
poser aujourd’hui ; car j’ai dit : « Tu es mon serviteur et mon ami ; » c’est le mystère suprême. »
Arjuna.
« Ta naissance est postérieure ; celle de Vivasvat a précédé la tienne : comment te comprendrai-je quand tu dis : « Dans l’origine, je l’ai enseignée à Vivasvat ? »
Le Bienheureux.
« J’ai eu bien des naissances, et toi-même aussi, Arjuna : je les sais toutes ; mais toi, héros, tu ne les connais pas.
Quoique sans commencement et sans fin, et chef des êtres vivants, néanmoins maître de ma propre nature, je nais par ma vertu magique.
Quand la justice languit, Bhârata, quand l’injustice se relève, alors je me fais moi-même créature, et je nais d’âge en âge.
Pour la défense des bons, pour la ruine des méchants, pour le rétablissement de la justice.
re-
Celui qui connaît selon la vérité ma naissance et mon œuvre divine, quittant son corps, ne