Brahmâ et le Bouddha | 515 | millions. |
Le Christ | 398 | — |
Allah | 201 | — |
Yahveh | 7 | — |
Confucius | 84 | — |
Plusieurs d’entre elles se partagent en diverses communions :
Brahmâ | 175 | — |
Le Bouddha | 340 | — |
Catholiques | 211 | — |
Réformés divers | 106 | — |
Orthodoxes | 81 | — |
D’une autre manière, il est possible de classer dans un même ensemble les sectateurs de Brahmâ, du Bouddha et du Christ, dont les doctrines sont au fond d’origine âryenne, et de réunir également les adorateurs d’Allah et ceux de Yahveh. Cette réduction donne les chiffres suivants :
Dogme âryen | 913 | millions |
Dogme sémitique | 208 | — |
Ainsi les adorateurs du Dieu Vivant sont aux serviteurs du Dieu Fort dans la proportion de 4 1/2 à 1. Les premiers représentent la civilisation avec la liberté, les seconds le fatalisme avec la servitude.
À ces faits il faut ajouter que les peuples de race âryenne continuent toujours le travail d’analyse et d’épuration qu’ils ont entrepris dès l’origine. Les conceptions métaphysiques qui se rattachent aux noms de Brahmâ, du Bouddha et du Christ, ne satisfont plus entièrement l’esprit critique des nations modernes et semblent se condamner mutuellement par leur diversité même. La science opère en dehors d’eux, sans qu’il soit possible d’apercevoir dès à présent ce qui sortira de ses recherches,