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sement ou comme une consolation du ciel. Ce serait les étrennes du pauvre, — les plus magnifiques qu’il put recevoir. Les grands poëtes n’ont pas seulement la mission de charmer leurs contemporains, ils se doivent encore tout à tous. Ils sont les propagateurs de la bonne nouvelle, les distributeurs de l’aumône universelle et mystique.
Une dernière parole : que M. Victor Hugo nous permette de lui dédier ce petit poëme. C’est une lettre de change que nous ti-