Page:Byram - Petit Jap deviendra grand !, 1908.pdf/55

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
à travers tshushima

colonel avec des larmes dans la voix. Ces paroles n’étaient pas un compliment de circonstance. À l’expression chaleureuse de ces mains rudes, à l’émotion de ces visages de soldat on comprenait que le colonel disait vrai et que ces hommes gardaient une reconnaissance infinie à des Français de les considérer, en raison de