Page:Cœurderoy - Jours d'exil, tome I.djvu/442

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

pauvres. Il est temps de leur déclarer une guerre à mort.




Il y a des médecins en France qui se plaignent amèrement de ce qu’ils sont obligés de cumuler l’exercice de lancette avec le métier de postillon et les fonctions uniquement honorifiques de maire de leur commune. Ils ne savent pas ce que c’est que de pratiquer la médecine dans l’exil. Dans mon chapitre sur Londres j’y reviendrai. Tout ce que j’en puis dire maintenant, c’est que je ne souhaite pas un aussi grand malheur, même à mon plus grand ennemi.