Page:Cœurderoy - Jours d'exil, tome II.djvu/399

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

inspiré dans la lutte entreprise contre les hommes de mon temps, moins nobles de cœur, plus délirants de langue que l’ingenioso hidalgo de la Mancha. Où que tu sois, Cervantes, dans la plume de Proudhon ou l’âme de Toussenel, je te salue, je te bénis !