climat, 171. — Faits qu’il rapporte, et qui prouvent l’influence du climat sur les tempéramens, 198. — Ce qu’il dit des habitans des pays montueux, 205. — Ce qu’il dit de l’espèce d’impuissance qu’il avoit observée chez les Scythes, 207. — Comment il détermine les caractères principaux du pays le plus propre à produire le tempérament bilieux, 213. — Ce qu’il dit des maladies particulières à certains pays, 223, note. — Ce qu’il dit des eaux, et de leurs effets sur l’économie animale, 251. — Sa vraie doctrine sur les habitudes morales des peuples, 279. — Preuve tirée de son Traité des Airs, des Eaux et des Lieux, 281.
Hobbes. Cité I, préface, xiv. — On peut le regarder comme l’élève de Bacon : ses travaux philosophiques, 36.
Humbolt. Ses expériences sur le galvanisme paroissent ébranler fortement la doctrine de l’identité du fluide galvanique et du fluide électrique, l, 439, note. — Sur ses expériences, 433, note.
Ingenhouse. Ses expériences sur le gaz oxigène, I, 248, note.
Jacquemont. Cité I, préface, xvj, note.
Lancelin. Cité I, préface, xvj, note.
Laplace. Cité I, préface, xij, note.
La Romiguière. Cité I, préface, xvj, note.
Lavoisier. Il a assigné au phosphore sa place parmi les corps non encore décomposés de la nature, I, 414.
Leroi (Georges). Ce qu’il a dit dans ses Lettres sur les Animaux, sur les chiens d’arrêt, II, 180, note.
Ligeti (Fortunio). Comment, étant né à l’âge de cinq mois, il fut conservé, et vécut plus de quatre-vingts ans, I, 121.
Linné. Ce qu’il a dit des habitans de Ia Laponie, II, 244.
Lister. Remarque particulière relative à la rage, I, 70.
Locke. État des sciences morales avant lui, I, préface. xiij. — C’est lui qui a exposé et prouvé cet axiome fondamental : que toutes les idées viennent par les sens, ou sont le produit des sensations, ibid. xv. — Ses travaux philosophiques, 37. — Ce qu’il a dit, ainsi que ses disciples,