Pussin. Il a le premier observé l’espèce de délire qui devient son propre remède, II, 455.
Pythagore. Un des génies extraordinaires de la Grèce ancienne, I, 14. — Sur ses doctrines, et comment on doit le juger, 15. — Il porta le premier le calcul dans l’étude de l’homme, 16.
Rebière (MM.). Citation du Mémoire de l’aîné, sur la rage ; et dévouement du cadet, chirurgien distingué de la commune de Brive, pour soigner les malades, sujets des observations rapportées dans ce Mémoire. I, 71, note.
Richerand. Remercimens sur les soins qu’il a pris de l’édition de l’ouvrage, I, préface, xlij. — Sa Physiologie citée, 55. — Il a le premier donné la raison pour laquelle certaines contractions musculaires acquièrent plus de force, à mesure que le sommeil devient plus profond, II, 134.
Rousseau (J. J.). Il a dit que la gourmandise appartient à l’époque qui précède l’adolescence, I, 221. — Jugement sur ses écrits, et particulièrement sur l’histoire qu’il a tracée de l’époque de la vie qui suit l’enfance, 277. — Il offre dans ses Mémoires un exemple singulier de l’espèce de seconde jeunesse qui succède à la virilité, 300, note. — Son observation sur les jeux des petites filles. 324. — Sur ses palpitations, dont il se guérit, 351. — Ce qu’il a dit sur ce que doivent faire l’homme et la femme pour la perpétuation paisible et sûre de l’espèce, 353. — Ce qu’il a dit des femmes, 371.
Roussel. Ce qu’il a dit des femmes, dans son Système physique et moral de la Femme, I, 372 et note.
Russel. Ce qu’il a dit des morsures des serpent du Bengale, II, 244, note.
Saint Bernard. Ses succès en prêchant la croisade en latin aux Allemands, qui n’entendoient pas cette langue, II, 425, note.
Saint-Lambert. Ce qu’il a écrit sur les principes de la morale, I, préface, xxxvj, note.
Salomon. Eunuque, un des lieutenans de Bélisaire, I, 386, note.
Sanchès (Ribeiro). Ce qu’il a dit touchant les effets moraux des maladies vénériennes, I, 396.