Abstinence. Quelle étoit l’intention des fondateurs d’ordres monastiques, en ordonnant le jeûne et l’abstinence à leurs religieux, II, 61.
Accouchement. Ses véritables causes, I, 120.
Acéphales (enfans) ; c’est-à-dire, sans cerveau. Ce qui leur arrive, I, 149.
Aconit. Les habitans de la Laponie en mangent dans la soupe les jeunes pousses, II, 245.
Adolescence. Ce qui se passe alors chez l’enfant, I, 279. — Ce que produisent les circonstances physiques particulières à l’adolescence, et observations générales à ce sujet, 281. — Passage de l’adolescence à la jeunesse, 282. — Opérations du cerveau au début de l’adolescence, II, 283.
Affections morales. Voyez Moral (le).
Age mûr. Passage de la jeunesse à l’âge mûr, I, 287. — Révolution presque subite qui se fait alors dans la distribution du sang, 288. — C’est alors que la pléthore veineuse succède à celle artérielle, 289. — Sur le moral de l’homme pendant la durée de l’âge mûr, et comment on explique les habitudes morales propres à cet âge, 290. — Sa durée et sa terminaison ; elle n’est pas moins dangereuse pour les hommes, que celle de la cessation des règles pour les femmes, 295. — Vers la première septenaire de la troisième époque, c’est-à-dire, vers la quarante-deuxième année, surviennent des maladies nouvelles, telles que la goutte, la gravelle, la pierre et l’apoplexie, etc., 296. — Maladies qui appartiennent à l’âge mûr, 310. — Maladies aigues de cet âge, 511.
Ages. De leur influence sur les idées et sur les affections morales. I, 237. — Cequi résulte pour le premier âge, de la multiplicité des vaisseaux, 261. — Dissertation de Stahl, relative aux affections pathologiques des âges, 274.
