ratoires chez les enfans, II, 57. — Les médecins grecs avoient reconnu l’avantage, dans le traitement de la consomption, de faire têter une nourrice jeune et saine par les malades, I, 420.
Continence. Elle a des effets très-différens, suivant le sexe, le tempérament, et les dispositions particutières de l’individu ; exemple à ce sujet, I, 381-382.
Contractions. Quelle est la cause de celles qui ont lieu après la mort, dans un muscle qu’on morcèle par des sections, I, 99.
Convulsionnaires de Saint-Médard. Comment ils ont pu étonner les imaginations foibles, I, 146.
Coquetterie des femmes. Comment elle doit être regardée, I, 329. — Ses effets chez la jeune fille. 374.
Corpora lutea. Ce que c’est, et où ils s’observent, I, 336. note.
Corps animés, Corps vivans. Voyez Animaux.
Corps en général. Sur la durée de l’existence des différent corps ; d’où elle dépend, I, 238. — Comment tous les corps de l’univers agissent les uns sur les autres ; caractère el degré différens de cette action, II, 5. — Modifications que les corps organisés peuvent subir, 6. — Ils peuvent contracter des habitudes, 7. — L’ary a su trouver les moyens de fixer ces modifications accidentelles et factices, et comment, ibid.
Corps humain. Les phénomènes de la vie jettent un grand jour sur ses propriétés, I, préface, viij. — Sous le point de vue purement anatomique, le corps vivant peut se réduire à des élémens très-simples, savoir, etc. 414. — Différentes propriétés par lesquelles l’air peut agir sur le corps humain, el y produire différens genres de modifications ; comment il agit par sa pesanteur et par sa pression, II, 94. — Effets de cette pression, 95. — Comment quelques écrivains ont expliqué la différence de ses formes, de sa structure, de la direction de ses os, 192. — Pourquoi l’explication de Buffon est la plus vraisemblable, 193.
Corps jaunes. Corpora lulea des ovaires, I, 336, note.
Corpuscules inorganiques et Corpuscules organisés. Cette distinction, établie par Buffon, est chimérique, II, 290.
Couvens. Quel étoit le but des fondateurs d’ordres, en prescrivant aux religieux et religieuses de s’abstenir des viandes, de se faire saigner, de jeûner, etc., II, 60, 61, 62, 63. — Considérations philosophiques sur les institutions monastiques, 64, note.
