Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/716

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plus ou moins utiles, suivant le point de vue sous lequel ou les envisage, 5. — La connoissance physique de l’homme en est la base commune, 6. — Sur la science chez les femmes, 368. — Ce qui constitue la science, 404.

Sciences morales. Leur état au moment que Locke parut, l, préface, xvij. — Elles rentrent dans le domaine de la physique, ibid. xxj. — Leur base, ibid. xxij. — Points fixes d’où l’on doit partir dans toutes leurs recherches. ibid. xxiij.

Sciences physiques et naturelles. Leurs progrès rapides depuis trente ans, I, préface, xxv.

Scorbut. Ses effets, I, 562. — D’où dépend la diminution des maladies scorbutiques, II, 106.

Scythes. Ce qu’Hippocrate a dit de l’espèce d’impuissance qu’il avoit observée chez eux, et de sa cause, II, 207. — Ce qu’il dit de leurs désirs amoureux, 209.

Semence. Sur les pertes nocturnes de cette liqueur, I, 179. — Ce qui arrive à l’époque de sa formation ou de sa maturité 335. — Sur celle des femmes, 336. — Les effets stimulans de la vie coïncident avec ceux de l’humeur séminale, 445. — Si la semence est filtrée en petite quantité, ou ne se trouve pas douée de toute l’énergie convenable, effets qui en résultent, 451. — Effets qui résultent de la semence filtrée en trop petite quantité, ou qui est sans énergie vers le temps de la puberté, de la jeunesse et de l’âge mur, 457. Autres effets, 458. — Maladies spasmodiques singulières, dont la source, chez les deux sexes, est évidemment dans le système séminal, 518.

Sensations. Leurs différences entr’elles et dans nos organes, I, 41. — Comment on les distingue et on les compare, 72, 73. — Différentes espèces de signes pour cela, 74. — Histoire physiologique des sensations, 86. — Preuve que les idées ne dépendent pas uniquement de ce qu’on appelle les sensations, 105 et suiv. — Faits généraux qui résolvent la question, 106. — La classification et la décomposition des affections morales et des idées qui dépendent particulièrement des impressions internes, sont évidemment impossibles dans l’état actuel de nos lumières, 115. — S’il est possible d’obtenir un jour, sur cet objet, des lumières plus étendues, ce ne sera que dans la physiologie ou dans la médecine qu’on pourra les trouver, 116. — L’ordre établi sur ce point par la nature, est extrêmement favorable à la conservation et au bien-être des animaux, 117. — Nature des sensations qu’éprouve le fœtus dans le ventre