Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/720

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intestins, une activité, que ces organes n’ont pas dans tout autre temps, 473. — Ce qui résulte de l’abus du sommeil ; exemple, 481. — Son excès ou son défaut peut, avec le temps, beaucoup changer l’état général et particulier des organes, 552.

Somnambules. Ce qu’ils font en dormant, II, 464.

Songes (observations sur les), I, 112. — Ce qui aide à en rendre raison, 184. — Cullen est le premier qui ait reconnu les rapports constans entre les songes et le délire, II, 436. — Développement de l’idée de Cullen, et moyen de la ramener à des vues plus générales, 437. — Pourquoi nous avons quelquefois en songe des idées que nous n’avons jamais eues ; exemples, 479.

Spasme. Mot dont on abuse, et qui a été adopté par les solidistes, I, 511.

Statue. Sur celle de Condillac, et sur la rose qu’il lui fait sentir, II, 382.

Stramonium. Son effet, lorsqu’il n’est pas mortel, II, 89.

Succion. Sur celle de l’enfant après qu’il est né, I, 123.

Sucre. Les médecins anglais attribuent à son usage la diminution des maladies scorbutiques et éléphantiasiques ; mais ce n’est pas la seule cause, II, 106. — Usage et effets du sucre, ibid. — Analogie qui existe entre le principe sucré et la matière alibile, 107.

Sympathie. Sur celle morale, l, préface, xix. — La sympathie et l’antipathie ramenées à un seul et unique principe, ibid. xx. — Son origine, sa nature et ses effets, 76. — Réflexions sur la sympathie, II, 400. — Elle rentre dans le domaine de l’instinct, et elle est en quelque sorte l’instinct lui-même, 405. — Les exemples de sympathie s’offrent en foule dans toutes les espèces sociales, 409. — Sur les déterminations sympathiques qui se développent dans le cours de la vie, 410. — D’où elles dérivent en général, 412. — Ce qui en résulte, 413. — Il en est de la sympathie comme des autres tendances instinctives primordiales, et comment elle s’exerce, 414. — Chez certains animaux, le principal organe de la sympathie est l’odorat, 417. — Les tendances sympathiques morales s’éloignent des attractions animales primitives, qui leur servent de base, 428. — Sympathie morale, 429. — Effets de cette sympathie, 430. — Par quels moyens elle exerce son action, 434. — Causes particulières de quelques sympathies, 507.

Système absorbant. Suivant quelques physiologistes, le tempérament phlegmatique consiste dans la prédominance