Page:Cadiot - Fragments sur les campagnes d Italie.djvu/204

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trompeurs) voué leur vie à Dieu ; si enfin, en contemplant à la cime d’une montagne les vieilles tours couvertes de lierre de quelque haut domaine, une douce tristesse s’est emparée de toi, et que tu te sois promenée pensive et la tête baissée, — alors, ô lectrice, tu ne jetteras pas, dédaigneuse, dans un coin les réminiscences du mousquetaire, mais tu penseras bien de celui dont la main les a écrites.

FIN.