Page:Cadiou - La Harpe de Merlin.djvu/29

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des tons roses. Je le verrais sans cesse dans mes rêves, marchant dans les vallons ombreux ou gravissant, suant et fatigué, les lacets des montagnes.

Saints de ce pays, protégez-le : là-bas, dans les contrées lointaines, il n’y aura pas de saints à s’occuper de lui.