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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/177

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  1. Tout ce que tu donnes, tu l’emporteras avec toi.
  2. Donner aux riches, c’est porter de l’eau à la mer.
  3. Qui ne sait pas avoir ce qui lui est dû, ne saura pas payer ce qu’il doit.
  4. Eau qui ne coule pas, crève ses conduits.
  5. Gagne et mange, mais n’économise pas sur la nourriture de ton âne.
  6. Ce qui enrichit, c’est encore moins le travail que l’économie.
  7. Écoute mille fois, ne parle qu’une.
  8. L’écrivain (l’employé) ne fait pas de rapports à sa charge.
  9. L’ennemi ne sait pas ce qui se passe chez son ennemi.
  10. Ce n’est pas trop de mille amis,
    Mais c’est trop d’un ennemi.
  11. Tiens pour un homme ton ennemi,
    Ne fût-il qu’une fourmi.
  12. Avant d’entrer, songe à la sortie.
  13. L’envoyé ne répond pas de ce qu’on lui fait dire.
  14. Les roses croissent sur les épines ; et les épines, sur les roses.
  15. L’homme qui a des épreuves, accroît son savoir ; celui qui vit sans épreuves, accroît ses fautes.
  16. L’érudition n’est pas plus la science, que les matériaux ne sont l’édifice.
  17. C’est degré par degré, qu’on monte l’escalier.