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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/286

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  1. Tapar la nariz,
    Y comer la perdiz
    .
    Pour manger la perdrix, bouche-toi les narines.
  2. Pereza, llave de pobreza.
    Insouciance mène à indigence.
  3. El perezoso
    Siempre es menesteroso
    .
    Le paresseux est toujours besoigneux.
  4. El mozo perezoso, por no dar un paso, da ocho.
    Valet paresseux, pour épargner un pas, en fait huit.
  5. El perro con rabia, a su amo muerde.
    Chien enragé mord son maître.
  6. El perro del herrero duerme a las martilladas,
    Y despierta a las dentelladas
    .
    Le chien du forgeron dort au bruit du marteau et se réveille pour donner un coup de dent.
  7. El perro del hortelano, que ni come las berzas, ni las deja comer.
    Comme le chien du jardinier, qui ne prend ni ne laisse prendre.
  8. El perro flaco, todo es pulgas.
    Ou : A perro viejo, todas son pulgas.
    Chien fainéant est tout puces.
  9. Ladreme el perro, y no me muerda.
    Passe pour aboyer, mais que je ne sois pas mordu.