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- Un maître et la liberté,
Ne se peuvent accoupler. - Être son maître, vaut de l’or.
- Dernier couché, premier debout,
Doit être chaque maître partout. - Il faut attacher l’âne comme veut le maître.
- Il ne faut pas se jouer à son maître.
- Qui a compagnon, a maître.
- Il ne faut pas vouloir en remontrer à son maître.
- Mieux vaut user ses souliers pour aller voir son maître, que son chapeau à force de le saluer.
- Tel dit du mal d’autrui,
Que moult est pire que lui. - Où il n’y a pas de mal, il ne faut pas d’emplâtre.
- Où la dent fait mal, la langue s’y porte.
- Le mal porte le repentir en croupe.
- Le mal d’autrui ne guérit pas le nôtre.
- À force d’aller mal, tout va bien.
- On ne sent bien que ses propres maux.
- Aux grands maux, les grands remèdes.
- De deux maux, il faut éviter le pire.
- Nuls maux n’est dont bien n’aveigne,
Ni perte qu’aucun bien n’ateigne. - Les maladies viennent à cheval et s’en vont à pied.
- Les malentendus font les trois quarts des querelles.
- Ceux que le malheur n’abat point, il les instruit.
- Un malheur amène son frère.
- Un malheur n’arrive guère sans l’autre.