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Page:Cahiers de la Quinzaine, 14e série, n°9-11, 1913.djvu/189

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l’argent suite

35. — Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré et le plus indispensable des devoirs.


Monsieur de Pressensé je ne dis pas que tout ça rend le gouvernement commode. Mais je vous demande, est-ce que tout ça c’est des moyens d’avoir la paix.

§. — Il ne faut point m’accuser de persécuter M. Lavisse. C’est lui qui nous provoque avec son cinquantenaire. Il y en a bien d’autres qui sont entrés à l’École il y a cinquante ans et qui ne font pas tant d’affaires.

§. — D’ailleurs, mon jeune camarade, soyez rassuré sur un point. Tout ce que je puis dire est parfaitement indifférent à M. Lavisse, parce que M. Lavisse sait très bien que je ne suis rien.

Dans le système métrique de M. Lavisse et je ne suis rien et les valeurs que j’essaie de défendre contre les désintégrations de M. Lavisse ne sont rien.

Il sait bien qu’il est l’État, et le temporel, et tout.

§. — On me dit : C’est un vieillard. Je dis pardon. Les vieillards ont droit au respect. Ils n’ont pas droit au commandement.

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