et qu’ils se laissent traiter et qu’ils se fassent traiter
comme les grands hommes et que ce soient eux-mêmes
qui nous en requièrent. Et puis enfin, s’ils sont si petits,
quand il s’agit d’être attaqués, d’être commentés, d’être
critiqués, pourquoi se sont-ils fait de si grosses places
dans l’État.
Pourquoi se sont-ils fait, à eux et à leurs critiques, (je veux dire aux critiques qu’ils font), et à leurs commentaires, de si grosses places temporelles, de si grosses places officielles.
§. — Ils veulent bien être gros pour émarger au budget, pour émarger aux honneurs, pour peser de toute leur grosse masse sur les gloires acquises, sur les réputations faites. Mais ensuite ils veulent être petits pour ne pas être exposés.
§. — Sans même aller jusqu’aux héros et aux saints, dans notre système nous avons le droit de ne pas traiter M. Langlois comme les Estienne et M. Lavisse comme Colbert. Mais dans le système de M. Langlois il faut que nous les traitions tous sur le même plan.
§. — Pendant trente ans ils se sont mis sur le pied de ruiner tout ce qui était debout en France et la France elle-même. Et aujourd’hui nous n’aurions pas le droit