Page:Cahiers du Cercle Proudhon, cahier 5-6, 1912.djvu/57

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

valent a leurs commanditaires des revenus capitalistes élevés, et qui lui permettent du faire rentrer dans ses coffres une bonne partie des salaires et des appointements qu’elle paie à son personnel. Bref, avec elle, la vie est douce et facile. C’est une vie amollissante mais sans contrainte, et lorsque, comme c’est le cas en France, les pouvoirs publics empêchent l’Église de déterminer la règle, au moins publique des mœurs, c’est une vie qui est nécessairement acceptée, et même recherchée par les hommes qui, laissés à leurs règles individuelles, ne recherchent plus que leur plaisir. Enfin, une basse littérature souvent fabriquée par des Juifs, toujours soutenue par la bourgeoisie juive, apporte une sorte de consécration intellectuelle à cet affaiblissement des mœurs[1]. La bourgeoisie juive

    auraient-ils réussi, car l’opinion était faible. Mais ils se heurtaient aux dix ou vingt financiers qui exploitaient l’avilissement des foules. La fabrication, le commerce de l’alcool et de la morphine étaient entièrement monopolisés par le trust Rodrigue Kohnson et Lefort. Kohnson était, par ailleurs, maître absolu des cafés-concerts, des théâtres et des huit principaux journaux. Dirigée par quelques familles juives tempérantes et de bonnes mœurs, cette administration était l’instrument de la dégénérescence européenne. Ce lui fut un jeu d’amortir l’agitation des hygiénistes. Blagues au café-concert, blâmes au Parlement, insultes par la presse, ils furent vite discrédités. » (Histoire de quatre ans, Cahiers de la Quinzaine, décembre 1903.)
    Il est aisé de voir que M. Daniel Halevy a décrit là un mécanisme politique et social qu’il vu fonctionner dans le monde juif.

  1. On imagine le lecteur assez averti des faits caractéristiques de la vie publique en France au XXe siècle pour joindre les preuves de fait aux informations ici données. Est-il nécessaire de lui rappeler que les juifs ont à Paris la haute main sur la plupart des théâtres, des cafés-concerts et des établissements de plaisir ? que le plus important des organes de dissolution par la littérature, la Revue blanche, par quoi furent corrompues, de 1893 à 1900, la jeunesse bourgeoise et la jeunesse anarchiste, fut fondée par des financiers juifs, les Natanson ? que ce sont des Juifs chiens de lettres, Léon Blum, Julien Benda, Charles-Henry Hirsch, qui ont propagé en France les plus basses propositions sur la vie sociale : Hirsch a fait l’apologie de la prostituée et du marlou, Benda celle du père qui considère le sentiment paternel comme une faiblesse, et Blum, qui est auditeur au Conseil d’État, a écrit un livre pour recommander le mariage temporaire, le mariage à l’essai.