Page:Calemard de La Fayette - Le Poème des champs, 1883.djvu/187

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Du vallon à la plaine et de la plaine aux monts,
Votre œuvre fraternelle, ô bons morts ! nous l’aimons.
Nous voulons hériter de l’œuvre et de la peine ;
Et nous vous bénissons sur le mont ou la plaine !
Bénis, soyez bénis, dormez au sein de Dieu,
Et qu’un soupir du cœur vous porte notre adieu !