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Page:Calloch - A Genoux.djvu/108

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Soudain la voix du tonnerre a mugi dans le ciel. — Le barde en son cœur a tremblé, — La danse désordonnée des éclairs fous l’a enveloppé : — Mais un ange aussitôt près de lui est descendu.  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Et sur mon visage, trois fois l’Ange a soufflé, — Et sous mes yeux épouvantés — Je vis passer toute la Terre :

Je vis les peuples rongés par le Péché…

II

Orient, Orient ! Là-bas, chaque jour, se lève le soleil. — Là-bas aussi, au temps passé, a voulu — Naître le Soleil divin, Lumière de toutes les patries.