Page:Campan - Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette, tome 1.djvu/288

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les biens de l’Église devaient à l’avenir être uniquement destinés à soutenir la noblesse pauvre ; que c’était l’intérêt de l’État, et qu’un prêtre roturier, heureux d’avoir une bonne cure, n’avait qu’à rester curé.

Doit-on s’étonner du parti que prirent peu de temps après les députés du tiers-état, lorsqu’ils furent convoqués en états-généraux ?