Page:Campan - Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette, tome 3.djvu/126

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toutes les déclamations violentes qu’on se permettait alors contre la politique du cabinet de Versailles verront, dans le mémoire de M. de Vergennes, avec quelle sagesse délibéraient alors les ministres accusés par l’ignorance, la présomption et la folie. »