Page:Campan - Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette, tome 3.djvu/265

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politesse ; je suis sûr que votre profond respect pour madame de ..... et pour ses parentes, aura continuellement guidé vos discours et vos actions, et je gagerais presque que vous avez su distinguer quelque vieux serviteur auquel madame de ..... doit être attachée de préférence, pour lui faire entrevoir qu’intérieurement vous lui savez gré des soins qu’il lui rend tous les jours et de ceux qu’il a dû lui rendre.