Page:Campan - Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette, tome 3.djvu/277

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tion au presbytère. Je sais que tu dois y vivre heureuse ; mais d’où vient ce long silence ? Ton oncle, ta mère, ou toi, êtes-vous malades ? La douce habitude de recevoir souvent de tes nouvelles est devenue un besoin pour moi, et c’est dans ce moment la seule chose qui manque à mon bonheur.