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Page:Candeille - Genevieve.djvu/46

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mon fils qu’elle a épousé. » Et comme si ces dernières paroles lui eussent coûté un violent effort, il reprit longuement sa respiration, et nous salua : nous sortîmes.

« Madame, me dit Cécile, il y a ici quelque mystère. Avez-vous remarqué l’air noble de ce vieux monsieur Dulaunoy ? Avez-vous remarqué son embarras au sujet de ses enfans ? Madame… je ne serais pas du tout surprise que ce prétendu horloger ne fût un ci-devant duc et pair.

Cécile Thévenot, jadis au service d’une dame presque aveugle, y avait appris à lire, et, tous les soirs lisait à sa maîtresse