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Page:Candeille - Lydie ou les Mariages manqués, 1825.djvu/260

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lydie.

ainsi quand Lydie le trompoit ; il se souvint qu’Alphonse, qu’Adhémar, que Préval même avoient, comme lui, fait l’épreuve de ce genre de séduction, généralement en usage chez les coquettes de bonne compagnie ; et le signe délateur du trouble affreux de Lydie ne passant alors, dans l’esprit de Valmont, que pour un manége de routine aussi hasardé qu’impuissant, il n’eut besoin de forces que pour renfermer en lui-même la répugnance et presque le mépris dont l’expression venoit expirer sur ses lèvres. Lydie, qui heureusement n’osoit lever les yeux, Lydie ne put saisir cette expression désolante… c’eût été son dernier tourment.

Des artistes, des amateurs réunis dans l’atelier de Valmont l’attendoient pour joindre leurs suffrages aux éloges de prévention que