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AMOURS ET PRIAPÉES


Tout poëte t’adore, immobile et rêvant ;
Son regard, ce baiser des cœurs forts, a souvent
Brûlé d’un vain baiser tes deux fesses de marbre.

Il voudrait emporter dans ses bras éperdus,
Et cueillir sur tes reins des plaisirs défendus,
Car en lui le désir se dresse comme un arbre !