Page:Cantel - Amours et priapées, 1869.djvu/72

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
52
AMOURS ET PRIAPÉES


Leurs corps n’est entouré d’aucun voile jaloux ;
J’écoute soupirer leur souffle, et je me penche
Pour mieux voir les contours de leur nudité blanche.

Mais je ne suis qu’un homme, et je pleure à genoux :
Sur elles, pour tromper ma flamme inapaisée,
Mon désir verse à flots sa brûlante rosée.