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Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/399

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Ça n’ devait pas finir comm’ ça 
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Ça n’ dur’ra pas toujours, ou chantons l’œtamini 
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Ça n’ se peut pas (voyez un jour Lucas dans la prairie).
Ce boudoir est mon parnasse (voyez vaudeville du Mameluck).
Ce cher objet sommeille encore (voyez vous me grondez d’un ton sévère).
Ce cher enfant sur mes genoux 
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Ce crayon trop fragile (voyez vent brûlant d’Arabie).
Ce fut au temps de la moisson (voyez air de la moisson).
Ce fut par la faute du sort 
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Ce fut toujours de la simple nature (voyez oui si j’admire un moment le parterre).
Ce fut un dimanche au soir 
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Ce jeune homme, depuis deux ans, ou et c’est toujours la même chose 
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Ce lieu charmant est un abîme immense 
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Ce magistrat irréprochable 
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Ce mot sévère (voyez air du Fandango).
Ce mouchoir, belle Raimonde 
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Ce n’est que pour Madelon, ou ah ! quel funeste destin 
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Ce que je vois ici de mieux à faire (voyez air de la walse du pauvre diable).
Celui qui fait un choix heureux (voyez loin des grandeurs je vis le jour).
Celui dont vous charmiez la vie (voyez air du pot de fleurs).
Ces postillions sont d’une mal-adresse (voyez dès mon printemps, naïve et confiante).
C’est à mon maître en l’art de plaire (voyez que ta porte, ô ma tendre amie).