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Servantes, quittez vos paniers
Servir la beauté, l’innocence (voyez je regardais Madelinette).
Si de votre vie, joyeux troubadours, ou voilà la manière de vivre cent ans
Si des galans de la ville
Si Dorilas médit des femmes
Si jamais je fais un ami
Si j’avais autant d’écus (voyez turlurette, ma tan turlurette).
Si j’en savons ? mais voir’ment, ou vous voyez en moi, mon cœur
Si le roi m’avait donné, ou dedans mon petit réduit (voyez la bonne aventure ô gué).
Si l’on pouvait rompre la chaîne, ou on peut s’abaisser à surprendre
Si Pauline est dans l’indigence (voyez il faut quitter ce que j’adore).
Si tu crois, pour charmer un cœur
Si tu veux un ami véritable, ou cette danse est ici la folie (voyez ainsi jadis un grand prophète).
Si votre sommeil est troublé (voyez un jour le malheureux Lisandre).
Si vous voulez être discret (voyez connaissez-vous l’amiral Anson).
Si vous aimez la danse (voyez air du camp de Grand-Pré).
S’il a, comme le bon Henri (voyez toujours seule, disait Nina).
S’il est vrai que d’être deux
Soir et matin je chante (voyez en revenant d’Auvergna).
Soir et matin sur la fougère (voyez Guillot un jour trouva Lisette).
Sombre bois où sa tendresse
Sommeil a fui mon humide paupière