Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/440

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Un motif plus puissant, je pense 
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Un page aimait la jeune Adèle 
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Un papillon des plus brillans 
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Un pauvre petit Savoyard, ou un bienfait n’est jamais perdu 
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Un rigaudon, zig, zag, don, don (voyez air de la ronde du rival confident).
Un soir, dans la forêt prochaine, ou je voudrais bien le deviner 
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Un soir l’Amour, d’un air timide 
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Un soir revenait Cadet (voyez la bonne aventure ô gué).
Un soldat, par un coup funeste, ou vive Henri 
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Un songe heureux, à mon ame attendrie 
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Un sot qui veut faire l’habile 
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Un tonnelier vieux et jaloux, ou travaillez, travaillez, bon tonnelier 
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Un troubadour béarnais (voyez air du troubadour béarnais).
Une femme fait peste et rage (voyez tout est charmant chez Aspasie).
Une fièvre brûlante (voyez dans une tour obscure).
Une fille est un oiseau 
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Une fille qui toujours sautille, ou à votre âge, fille la plus sage 
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Une jeune bergère, les yeux baignés de pleurs 
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Une lumière vive et pure, ou pour mettre fin à ma tristesse 
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Une mauvaise tragédie 
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Une petite fillette, qui n’avait pas plus d’ quinze ans 
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Une vieille qui roupille (voyez air des trembleurs).