Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/442

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Vive un tambourin qui nous réveille (voyez monsieur le curé, ma femme est morte).
Vivent les fillettes ! 
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Vivent les noces pour danser 
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Vivre loin de ses amours (voyez s’il est vrai que d’être deux).
Voici les dragons qui viennent 
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V’là c’ que c’est qu’ d’aller au bois, ou v’là c’ que c’est qu’ d’avoir un cœur, ou v’là c’ que c’est que l’ carnaval 
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Voilà bien ces lâches mortels 
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Voilà bien le mot ordinaire (voyez vaudeville de l’Avare).
Voilà la manière de vivre cent ans (voyez si de votre vie).
Voilà ce sauvage (voyez repas en voyage).
Voilà mon cousin l’Allure (voyez le jour de saint Crépin).
Voilà, voilà la petite laitière 
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Vois-tu ces coteaux se noircir 
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Votre pavillon m’enchante (voyez jamais je n’oublierai).
Votre souhait sera comblé (voyez un jour le malheureux Lisandre).
Votre zèle me flatte 
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Voulant, par ses œuvres complètes (voyez la résistance est inutile).
Voulez-vous, charmante Azélie (voyez vaudeville des petits Montagnards).
Voulez-vous être heureux amant 
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Voulez-vous savoir les on dit, ou mon père était pot 
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Voulez-vous savoir l’histoire 
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Voulez-vous suivre un bon conseil, ou versez donc, mes amis, versez 
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