Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/465

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

N°. 4.

De 8 vers de 10 syllabes, à rimes croisées, en commençant par une rime féminine, ainsi qu’il suit :

Les moissonneurs abondent au Parnasse ;
Il est si doux d’y cueillir des lauriers !
Mais pour talens combien n’ont que l’audace !
Quel tort aussi de venir les derniers !
Dans les beaux champs qu’arrose l’Hypocrène
Il reste peu de palmes à donner :
Après Boileau, Racine et La Fontaine
L’Institut même est réduit à glaner.

Timbres.

Mon honneur dit que je serais coupable (des Amours d’été),

ou Mon petit cœur à chaque instant soupire.

Contentons-nous d’une simple bouteille.

Muse des jeux et des accords champêtres.

La comédie est une grande salle.

O Mahomet, ton paradis des femmes,

ou Il faut aimer, c’est la loi de Cythère.

Dans nos hameaux la paix et l’innocence.

La jeune Iris, la fleur de ces campagnes,

ou Air du vaudeville de la Danse interrompue,

ou Air du vaudeville des Chevilles de Maître Adam.