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Page:Carmontelle - Conversations des gens du monde, tome 1.djvu/432

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Mad. de Saint-Yard.

Mais, Monsieur, vous allez vous enrhumer.

M. de Saint-Yard.

Je n’ai rien à craindre, moi.

Mad. de Saint-Yard.

En vérité, vous n’avez pas assez de soins de votre santé.

Mad. de Guerville.

Vous n’êtes pas malade, Monsieur de Saint-Yard ?

M. de Saint-Yard.

Non, vraiment.

Mad. de Guerville.

Qu’est-ce que c’est donc qu’elle dit ?

M. de Saint-Yard.

Elle se moque de moi ; mais nous verrons ce soir, comme elle se trouvera de son imprudence.

Mad. de Guerville.

Adieu, mon cœur.