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recevoir cent coups de regle, un coup de pied au cul, & un soufflet.
LABRIE.
Et qui vous a donné tout cela ?
M. L’ÉCHALAS.
Qui ?
LABRIE.
Oui.
M. L’ÉCHALAS.
Eh ! c’est ce diable d’Abbé là, qui dit qu’il est un esprit, & qu’il me tordra le cou, si je m’en approche davantage.
LABRIE.
Eh bien, sauvez-vous.
M. L’ÉCHALAS.
Par où ?
LABRIE.
Tenez, par cette petite porte que vous voyez.
M. L’ÉCHALAS.
Allons, en vous remerciant, Monsieur de Labrie. Je vas chercher Monsieur de Leurmont pour me plaindre à lui, de m’avoir fait rouer de coups moi-même, dans son jardin.