Aller au contenu

Page:Carmontelle - Les Femmes, tome II.djvu/223

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
217
CHAPITRE XXX.


CHAPITRE XXX.

Légère.

Séparateur


Madame de Gersigny ?

— Elle-même, et je me suis aperçue combien, au souper du chevalier, elle était inquiète en voyant comme vous étiez occupé de moi ; c’est ce qui m’a empêchée de vouloir être ramenée par vous. Sa jalousie peut l’engager à me faire tourmenter par ma mère, qui est une femme dont les principes sont fort éloignés de ceux du monde, et qui me presse continuellement de me remarier, me trouvant trop jeune pour rester maîtresse de mes actions. Pour l’empêcher de nous nuire, voici ce que je vais vous proposer, et qui, sans doute,