Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 2.djvu/123

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

M. DE LA MOTTE.

Mais, à huit heures & demie. Voyons ta montre ; la mienne va bien.

Ils comparent leurs montres.
M. DE LA BARRE.

Elles vont de même.

M. DE LA MOTTE.

Me meneras-tu ? ou veux-tu que le te mene ?

M. DE LA BARRE.

Je te menerai. Il y a ici près des fiacres tant qu’on en veut.

M. DE LA MOTTE.

Allons, je serai bientôt ici. Il s’en va.

M. DE LA BARRE.

Ne perds pas de temps ; surement, nous nous amuserons.

Séparateur

Scène III.

M. DE LA BARRE, LA PIERRE.
M. DE LA BARRE, regardant ses papiers.

Ma foi, je verrai cela une autre fois. Ah ! voilà la Pierre. Hé bien ?

LA PIERRE.

Monsieur, il n’y étoit pas.